Seconde partie de l’entretien avec Jennifer Coston-Guarini, éco-géochimiste.
On parle des transformations récentes des outils informatiques et des capteurs pour les travaux actuels en écologie. Elle décrit ensuite ce que permet la visualisation des modèles et des données, et en particulier du pouvoir de questionnement que celle-ci entraîne. La chercheuse nous évoque enfin sa vision optimiste du futur de la recherche, ainsi que son intérêt pour les aspects sonores de son activité.
Le site de l’Eblab, The Entangled Bank Laboratory
Retrouvez Jennifer Coston-Guarini :
sur Twitter https://twitter.com/ecology_revised
sur Google Scholar https://scholar.google.fr/citations?user=zofv15sAAAAJ
Fond sonore d’intro et de fin : Their finest hour (Cracktro, 1989) par Paranoimia
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